Dans la foulée, je recommande aussi la visite de son site. A noter qu'à moins d'être professionnel dans certains secteurs, un petit code allopass - fort peu onéreux - permet d'accéder à davantage de photos. Rassurons-nous : je n'ai pas d'intérêt dans l'affaire, je ne connais pas monsieur Paillier, mais j'aime beaucoup les photos de spectacles et elles sont rares. Mon petit billet Questions… et Impressions... m'a conduit vers son travail : avis aux amateurs, donc.

Je lis Planète Xanadu depuis quelque temps déjà. Dans un billet daté du 18 août, et faisant référence à la reprise de ce blog - qu'il avait arrêté -, l'auteur revient sur des questionnements qui travaillent à un moment ou un autre (tous ?) les blogueurs, et peut-être plus encore les diaristes. Chacun verra de quels questionnements il se sent proche, ou pas du tout : ce billet et le nouveau fonctionnement du blog témoignent, avec une belle honnêteté à mes yeux, de la cohérence sans cesse à reconquérir d'une démarche personnelle et ouverte à la fois.
Petit extrait, auquel le billet n'est absolument pas réductible : "J'écris pour le lecteur inconnu, tapi dans l'ombre et couvert de silence, celui qui me comprend toujours, mon ami invisible et muet. J'écris pour celui qui me ressemble quelque part de l'autre coté de l'océan numérique, j'écris pour mon alter ego potentiel... J'écris pour rien, j'écris pour personne, je jette des bouteilles à la mer avec l'espoir absurde que quelqu'un qui me respecte la trouvera, je sais que c'est idiot mais c'est comme cela, d'autres jouent au loto."

Diverses raisons donc, coïncidant chronologiquement, à ce petit impromptu… La dernière résulte d'une période de relative disette cinématographique (entendre par là un enchaînement "malheureux" au hasard de mes visionnages désordonnés, et non une calomnie sur les sorties ou reprises actuelles) : ainsi ai-je pu prendre le temps de finaliser une présentation un peu plus stimulante et/ou éclairante des liens proposés dans ce blog. On peut s'y rendre par ici. Pour autant : tortue j'étais, tortue je reste… je le crains, mais ne le nie point :-)