Il arrive : qu’une carte postale soit envoyée une fois rentré chez soi. Il en rêve : que ce soit davantage le vœu d’une prolongation que l’expression d’une négligence.
Aussi, il est doux de regarder encore un peu depuis le cap de Sagres où le dernier film d’Oliveira invite. Il est doux de traverser encore ce pont près de la Quinta do Vesuvio, découverte dans le Val Abraham. Comme il était doux de l’imaginer, déjà, dans l'extrait du billet précédant (le départ).
C’est si bon… En tout cas pour MOIJE... Je ne dis pas tout le monde.
Entre vacances et voyage, divertissement et cinéma, je résiste à vouloir refermer la parenthèse. Ce sera donc en douceur, et d’abord : reprendre des nouvelles de blogs et de forums aimés, et évidemment de salles obscures…
Tout en douceur… je vais recommencer.
PS2 : je souligne ici que le site de la fondation Serralves est consultable en anglais ("ENG" à dénicher en haut de la page sur la gauche). L'exposition sur Manoel de Olivieira se poursuit jusqu'au 2 novembre, et la rétrospective (intégrale) qui lui est consacré jusqu'au 8.
PS3 : comment je me la pète grave !